Bonjour Lillyrozenn,
Je reviens dans la zone des questions pour faire suite à votre réponse concernant les choses choisies, subies,…
Voici votre réponse :
1/ ➼ “beaucoup de choses que je pensais subies sont en fait des conséquences de choix donc en fait pas vraiment subis”
Quelle émotion déclenche cette pensée ?
2/ Concernant les choses que vous subissez : Quelles sont vos options ? Quelles sont les solutions possible qui existent et qui sont à votre disposition si vous laissez votre cerveau explorer les solutions au lieu de se focaliser sur les problèmes
Et voilà ce que je peux dire :
1/Réaliser cela m’a fait sentir plus légère. Ca m’a enlevé un poids. J’étais contente de savoir qu’en fait la liste des choses subies n’était pas longue de 500 km ! Donc lorsque l’occasion se présente, j’essaie d’avoir la pensée suivante : c’est normal, ça fait partie de mes choix de vie. C’est pas très chouette certes, mais c’est pas dramatique.
2/Pour les choses subies j’ai tenté de trouver pas mal de solutions. Pour le moment ça marche pas franchement.
De ce que j’ai compris, je ne peux pas agir à la place d’autres personnes : le travail de mon mari ne changera pas quoi que je fasse, le virus et le couvre-feu non plus,… je ne peux qu’accepter la situation. Et c’est là que ça devient difficile… Mais je vais faire des questions séparées avec des modèles pour que vous m’aidiez à y voir plus clair !
Béatrice
REPONSE
Bon travail. Effectivement l’acception est la première étape.
Accepter ce n’est pas capituler.
Accepter c’est arrêter de regarder la réalité telle qu’on voudrait qu’elle soit et la regarder en face telle qu’elle est. Et à partir de là choisir quelle personne nous devons devenir pour être capable de créer le résultat que nous voulons face à cette réalité. Le but est de nous créer le moins souffrance possible, voir meme du bonheur quand meme !