Bonjour,
Suite à votre message de Vendredi; j’ai retravaillé mon modèle par défaut ( 1ere situation sur mes relations au travail avec mes nouveaux collègues) , j’aimerais avoir votre avis ( j’avoue avoir de la difficulté pour le dernier modèle)
C Mes relations au travail
P “J’ai envie de me faire bien voir ( sans provoquer le conflit)
J’ai envie de me faire bien accepter
S’ils ne sont pas d’accord je ne serais pas accepter”
E Peur
A “: Je dis oui à tout
Je suis dans l’observation
Je n’ose pas intervenir
J’essaye de ne pas contredire les collègues”
R Je ne suis pas moi-même
QUESTIONNEMENT PENSEE
La pensée j’ai envie de me faire bien voir insinue que si je dis rien , les autres n’auront pas de jugement et qu’ils m’accepteront.
Ce n’est pas parce que je ne dis rien ou que je suis une crème que les autres n’auront pas de jugement qu’ils ne m’évalueront pas. Ils auront toujours des pensées à propos de moi car c’est humain que je fasse ou que je ne fasse rien c’est la même chose. L’ensemble de ces pensées est donc une interprétation de la réalité. Je pourrais remplacer cette pensée par ” je peux donner mon avis , c’est mon avis et par ce que je suis humaine come tout humain” Les uatres auront bien sur des pensées par rapport à ce que je dis mais ce sont leur pensées et leurs émotions, ce la ne me concerne en rien. “Je donner un avis par rapport à ce que j’ai connu , et donner une vision différente de la leur”
n°2 /
C Mes relations au travail
P “J’ai peur de m’affirmer
J’ai peur d’avoir un avis différent
J’ai pas envie de blesser personne
J’ai peur d’etre jugée”
E PEUR
A “Je reste toute petite.
Je n’ose pas donner mon avis.”
R Je n’ai pas confiance en moi dans ce nouveau travail.
QUESTIONNEMENT DES PENSEES
L’ensemble de ces pensées signifie que si je donne mon avis, mon cerveau imagine tout de suite le conflit , la guerre, que les gens ne m’accepteront pas comme je suis. Est ce vrai? Je n’en sais rien. Peut etre que oui / Peut etre que non. Mais mon cerveau donne la réponse tout de suite sans preuve il est sur que ça ne se passera pas bien, que je vais mal le vivre… Il est persuadé que si je donne mon avis, ou que je dise que je veux : il interpréte ce que les autres pensent., il imagine ce que mes collègues pensent de moi. C’est d’ailleurs des pensées récurrentes que je rencontre quand je veux etre moi même ou m’affirmer. Mais en fait , l’ensemble de ces pensées, signifie ce que je pense de moi; j’ai m’pression que je ne m’accepte pas comme je suis et si moi je ne m’accepet pas comme je suis, j’ai peur que les autres pensent comme moi. Alors comment faire pour m’accepter comme je suis ? QUe pensez vous de cette analyse?
Je peux avoir un avis différent des autres et ce n’est pas pour ça qu’ils ne ma’iemeront pas. ça n’a rien avoir avec l’amour. l’amour est une émotion provoquée par une pensée.
Je pourrais remplacer cette pensée par : J’ai confiance en moi et en mes idées, j’ai des preuves que j’ai pu prendre des initiatives dnas mon aciens services et que ça a fonctionné. J’ai le droit de me tromper Mélanie et ce n’est pas grave, j’ai le droit de faire des erreurs j’ai le droit d’avoir un avis différent de qq d’autres.
3/
C Mes relations au travail
P “Mes collègues vont changer d’avis sur moi
Ils vont dire que je suis incompétente”
E Stress
A “Je rumine
Je n’ose pas m’affirmer lors de réunions”
R Je n’ai pas confiance en moi dans ce nouveau travail.
QUESTIONNEMENT PENSEES
Comment pusi je savoir qu’ils vot chnager d’avis? Encore une fois, mon cerveau choisi que le négatif. IL n’y a pas de preuve qu”ils” me trouvent incompétente. D’ailleurs lors des discussions avec chaque personne, plusieurs fois ils m’ont dit qui n avait des compétences différentes. il semble que ce soit mon cerveau qui ” croit” que je suis “incompétente” c’est donc une interprétation de ma part.Je pourrais remplacer cette interprétation par ” je viens d’arriver dans le poste, il est normal que tu n’ai pas toutes les compétences, tu as été choisi car tu avais des compétences”
4/C Mes relations au travail
P Si je dis que j’ai appris ça avec christelle et Florence à Manuella. Manuella va penser que je suis avec elle et que je suis contre elle.
E Mal à l’aise
A “Je rumine.
Je contrôle ce que je dois dire ou pas
“
R Je ne suis pas libre.
QUESTIONNEMENT DE PENSEES
Tant que Manuella ne te dira pas: ” ça ne me plait pas ou je ne t’aime pas”; Tout le reste est une interprétation de mon cerveau. Ce n’est pas utile et ça provoque des ruminations, du stress. Ce n’est pas parce que Florence t’aide que Manuella va penser que tu es contre elle. —> ????
Merci d’avance pour votre retour . Mélanie
RÉPONSE
Je vous invite à questionner vos pensées en utilisant les questions du carnet de coaching n°3 qui accompagnent les vidéos sur le modèle : Est-ce que cette pensée est vrai ? Est-ce LA vérité ? OU est-ce MON interprétation de la réalité ? Est-ce que cette interprétation m’est utile ? Est-ce qu’il en existe d’autres ? Quelle interprétation, quelle pensée me serait plus utile ici ?
EXEMPLE :
“J’ai envie de me faire bien voir” ➼ Est-ce vrai ? Est-ce LA vérité ? Où est-ce MON interprétation de la réalité ? Ai-je vraiment envie de me faire bien voir par ces personnes ? Est-ce capital pour moi ? Est-ce vraiment ce dont j’ ai envie dans la vie et au travail ? OU est-ce que j’ai envie d’autre choses ? De quoi ai-je vraiment envie alors ?
Si la réponse est oui “j’ai vraiment envie de me faire bien voir”, demandez-vous pourquoi ? Pourquoi avez-vous envie de ça ? Réponse : parce que vous pensez que vous avez le pouvoir de vous faire bien voir par ces personnes. Mais vous vous trompez : vous n’avez pas ce pouvoir. Vous ne pouvez pas manipuler les pensées des autres par votre comportement. Vous n’aurez jamais ce pouvoir. Peu importe votre comportement vis à vis d’eux, les autres seront toujours libres de penser ce qu’ils veulent à propos de vous. Ne vous fatiguez pas à essayer de vous faire bien voir, vous n’y arriverez jamais.
Si la réponse est oui “j’ai vraiment envie de me faire bien voir”, demandez-vous encore pourquoi ? Pourquoi avez-vous envie de ça ? Réponse : parce que vous avez besoin vous sentir appréciée par les autres. Mais les autres ne peuvent pas vous faire vous sentir aimée et appréciée. Vos émotions, ce que vous ressentez, tout cela est créé par vos pensées. Si vous voulez vous sentir appréciée, votre job est d’abord de trouver les pensées qui déclenchent ce sentiment en vous et ensuite de trouver les actions que vous pourriez faire lorsque vous vous sentez appréciée. Et non pas l’inverse : “je vais faire agir de tel façon afin de faire en sorte que mes collègues m’apprécient et alors ensuite seulement je me sentirai appréciée”. Partez du principe que vos collègues vous apprécient. Partez du principe que c’est vrai. Tant qu’ils ne vous ont rien dit, vous ne savez pas ce qu’ils pensent. Ce que vous vous racontez est donc une histoire. Vous avez donc les choix entre 2 histoires : une histoire utile ou une histoire inutile. Laquelle voulez-vous choisir ? Que pouvez-vous vous dire qui vous aiderait à construire l’histoire “mes collègues m’apprécient” ? Une histoire à laquelle vous croyez.
Si la réponse est non “je n’ai vraiment envie de me faire bien voir, ce n’est pas cela qui est capital dans ma vie, dans mon travail “, dans ce cas-là décidez de tout simplement laisser tomber cette pensée.
A vous.