Pensées difficiles ( valeur)

Bonsoir LilyRozenn,

J’avais commencé un travail sur qu’est ce que je pense de moi?( voici la 2ème partie de mes questions)
J’ai mis un peu de temps à réaliser ce travail mais très fière de l’avoir fait. ( le replay de la séance dernière m’a motivé à finir cette liste) Un Grand merci à vous !

Ci-joint les pensées que je pourrais me débarrasser difficilement :
P : Je ressens beaucoup de négatifs à propos de moi

Cette pensée n’est pas un fait c’est l’accumulation d’interprétation qui me fait dire que je ressens beaucoup de négatif. Je réagis à une émotion pour évacuer. Au fond de moi, je sais que je fais plein de choses et ce n’e sont pas des choses négatives. Je suis fière de moi.
Je pourrais remplacer par une interprétation d el’ensemble des choses que ej fais :
– L’éducation des enfants
– L’organisation des évènements,
– Mon travail
– Mon coaching
….
Ces pensées sont plus utiles.

P : j’ai l’impression de mal faire,

Cette pensée n’est pas un fait.
Je me dévalorise comme si mon cerveau choisit de le faire pour me donner de l’attention.
Elle ne m’est pas utile et me force à réagir à une émotion négative.
C’est bien une interprétation liée à la mauvaise gestion d’émotion.
Je pourrais la remplacer par je fais de mon mieux, je suis un être humain avec mes qualités et mes défauts.
Cette interprétation est bien plus utile

P : Les autres ne m’appuient pas (lorsque j’ai un avis différent)
Cette pensée signifie que lorsque les autres me contredisent j’ai l’impression qu’ils me détestent, et pour moi c’est si j’ai un avis ils doivent le suivre car sinon ils ne m’aiment pas. C’est la traduction que j’en fais.
Est-ce que c’est un fait ? Non il n’existe pas de loi pour dire la personne qui a le même avis que toi tu dois l’aimer , s’il a un avis différent tu ne l’aimes pas.
C’est bien une interprétation de mon cerveau mais ce n’est pas la réalité.
Je pourrais trouver l’interprétation suivante : « Ma collègue a un avis différent du mien » « J’ai un avis différent de ma collègue » « ma collègue ne me juge pas et je ne juge pas ma collègue » « C’est normal d’avoir des avis différents » « Et il n’y a pas de problème »

P :Je suis susceptible
 Je ne pense pas que cette pensée soit vrai. Être susceptible c’est prendre tous les choses mal. J’ai choisi d’etre susceptible pour qu’on s’occupe de moi, je pense que je suis dans le comportement e la victime. Je ne prends pas ma responsabilité.
 C’est donc une interprétation de la réalité, et elle ne m’est pas utile
 Je pourrais remplacer cette pensée par « je peux sentir l’émotion négative arrivait et me fait perdre pied » « c’est juste une phase difficile » « Ca va passer, ne prends pas de décision maintenant » » Va marcher ça ira mieux après »
 Elle me parait plus utile.
P : je n’arrive pas à dire non quand je ne suis pas sûre de moi
Cette phrase ressemble énormément à la phrase sur la contradiction

P : je ne me sens pas à l’aise et mon interlocuteur en profite.
Je n’arrive pas à dire non, et j’ai l’impression que mon interlocuteur se sert de moi mais en vrai c’est à moi d’exprimer mon besoin de dire non. Et j’ai peur de le faire car j’ai peur qu’on ne m’aime pas.
Est-ce vrai qu’on ne m’aimera pas si je dis non ? Non ce n’est pas vrai : la personne va avoir un refus certes il sera déçue mais ça ne durera pas 1h. Ca passera. C’est bien une interprétation de la réalité.
Je pourrais remplacer par une autre interprétation : « Je n’ai pas envie de faire ça , je vais lui dire non mais ça ne changera en rien nos relations »

P : Soit je deviens agressive.
Je deviens agressive car j’ai une émotion qui m’embête.
Car j’ai peur et que je ne sais exprimer que par la colère.
C’est une interprétation de mon émotion que je peux réguler :en allant vers cette interprétation « Ca va aller, tu vas dire non que ça ne t’intéresse pas , tu n’as rien fait de moi tu as le droit d’exister et de dire non »

P : je me sens rabaissée.
Je me sens rabaissée lorsque qq affirme qq chose et que moi je ne suis pas sûre de moi.
Est-ce vrai ? Non la personne en face de moi n’est pas l’adulte et je ne suis plus enfant.
C’est bien une interprétation et cela signifie pas que lui est le plus fort et moi la plus faible Nous sommes au même niveau Il ets normal que nous ayons des connaissance différentes.
Je peux trouver une autre interprétation plus utile : Je suis à la même hauteur que mon interlocuteur. J’ai de la valeur et autant de compétences.

P : je suis incompétente (quand on me contredit)
Lorsqu’on me contredit j’ai l’impression que ce que je dis est faux. Je me mets le doute et je me dis que je n’ai pas la bonne info car si je l’avais on serait d’accord.
C’est une interprétation, et ce n’est pas la réalité, ce n’est pas un fait
Je pourrais remplacer par je n’ai pas le même avis, il y a peut etre des infos qui me manquent je vais les vérifier et je reconnaitrais mes tords. Je connais mes compétences et ce n’est pas le sujet à cet instant.

P :je n’ose pas demander de l’aide ( j’ai peur de demander sinon il ou elle va penser que je nsuis pas à la hauteur
Derrière cette pensée , j’imagine les pensées des autres. Et évidemment c’est négatif à propsod e moi et de ma valeur. Cette pensée est fausse. Et ce n’est pas un fait.
C’est bien une interprétation de la réalité : je ne sais pas et je ne peux pas savoir ce que lesautres pensent de moi. C’est mon cerveau qui imagine ce que pense des autres et c’est négatif. Je pourrai penser qu’il pense quelque chose de positif comme : « Je suis ravie de demander de l’aide » « Ma collègue va être ravie de m’aider car j’ai une valeur »
« il n’y a pas de honte à demander »
Ces interprétations sont plus utiles et m’apporte de la confiance, de la joie.

P : demander de l’aide c’est être faible
Cette pensée est fausse et pourtant elle m’accompagne depuis tant d’années. Elle rejoint la pensée précédente. C’est bien une interprétation de ma part et elle n’est pas utile. Pourquoi me rabaisser moi-même ?
Je ne suis pas faible et d’ailleurs c’est quoi être faible ? ça ne veut rien dire. On pourrait remplacer cette pensée par « je n’ai pas les mêmes compétences que mon -ma collègue ; elle va m’apporter autre chose et c’est normal »

P : j’ai un manque de confiance en moi
Ma première pensée quand j’ai relue cette pensée était de me dire que c’était vrai. Mais en fait cette phrase est dans ma tete depuis des années ( plus de 30 ans) ; j’ai l’impression que ça me rassure d’avoir cette pensée. C’est pas de ma faute hein car je n’ai pas confiance en moi. Cette pensée n’est pas utile. J’ai fait tellement de choses et prouvé tellement de fois :
– Je suis capable d’effectuer un développement personnel
– Je suis capable de déplacer des montagnes pour arriver à mon objectif peu importe l’avus des autres
– Je suis capable d’apprendre un texte avec plus de 200 répliques
– Je suis cpapable d’animer une réunion (sans avoir eu de formations)
– Je suis capable de comprendre mes enfants
– Je suis capable d’effectuer des menus et de faire à manger à ma famille
– Je suis capable d’organiser un anniversaire surprise ou non
– Je suis capable de réunir l’ensemble de ma famille proche ou éloignée même lorsqu’il ne sont pas vue pendant des années
– Je suis capable d’aller voir ma grand-mère chaque semaine, lui donner de l’amour
– Je suis capable de prendre soin de moi
– Je suis capable d’aimer la vie que j’ai
Toutes ces pensées sont bien plus utile et prouve que j’ai confiance en moi et que je suis fière d’etre en vie !

P : j’ai peur de ne pas être à la hauteur, ( sinon les autres ne vont pas m’aimer.)
J’aurais tendance à dire que cette pensée n’est pas vrai ; que derrière cette pensée, j’ai peur que les autres ne vont pas m’aimer et s’il ne m’aiment pas ; ils vont me rejeter et je vais me sentir bien seule et donc indigne d’etre là.
J’ai envie de dire : et alors ? ce n’est pas une pensée vrai , c’est bien des interprétations , des conclusions hatives que j’ai construit. Elle ne m’est pas utile.
Je pourrais la remplacer par « je suis moi et c’est très bien comme ça »
Et cette pensée est bien plus utile

P : je suis différentes d’eux : ( de mes parents, des autres … )
Certes c’est une pensée que j’ai régulièrement notamment lorsque je suis en conflit avec mes parents. C’est aussi une pensée qui se répète auprès des autres (des collègues que je n’apprécie pas) . Je ne pense pas qu’elle soit utile car elle insinue que j’inspire la différence et que si je suis différente ils vont me rejeter et donc me juger et donc me rabaisser.
Mais est ce que la différence provoque le rejet ? eh bien non ! Aujourd’hui je m’en rends compte, j’ai intégré un nouveau poste et j’ai un profil différent de mes collègues ; ils sont curieux de ce que je peux leur apporter, je n’hésite pas à leur donner une vision différente. Est-ce que je suis rejetée ? NON ! Je suis moi et je m’aime comme je suis ! Cette pensée est bien plus utile elle m’apporte confiance et amour.

P : “ils” me font sentir que j’ai tord . ( que je ne suis pas aimée)

La encore j’interprété leur comportement, il sont certes mécontents mais ça ne me peut pas me sauter dessus.
Cette pensée n’est pas utile et m’apporte de la souffrance. Je peux éventuellement changer cette interprétation par « ils n’ont pas l’air d’accord avec moi, et alors ? »

P : Ils m’aiment moins ( car je ne suis pas d’accord avec eux)
Alors c’est une interprétation de mon cerveau ( de petite fille) . Ce n’est pas possible que les gens m’aiment moins. C’est juste qu’ils sont en colère à l’instant T. C’est archi faux : ils m’aiment autant qu’à ma naissance mais c’est juste qu’ils ne sont pas d’accord avec moi et il en ont le droit !

C : J’aime aller vers les autres
C’est une pensée +++ : et c’est vrai . J’aime aller au contact des autres c’est ce qui me permet de les comprendre au mieux.

C : J’aime comprendre les autres
C’est une pensée +++ : et c’est vrai . J’aime aller au contact des autres c’est ce qui me permet de les comprendre au mieux.

P : J’ai transmis mes peurs à mon fils ainé
C’est une belle interprétation de mon cerveau. C’est vrai que nos caractères se ressemblent et que nous réagissons d e la même manière mais en aucun cas mon fils ainé a vécu les mêmes choses que moi. Il n’a pas eu la même éducation que moi, et nous ne sommes pas nés de la même génération. Il est lui et moi je suis moi !

P : Je ne sais pas être synthétique
Je reconnais que je n’arrive pas aller à l’essentiel et que j’admire les gens qui vont à l’essentiel. >J’ai surtout beaucoup de pensée négatives ce qui me provoque des émotions négatives.
Je pourrais remplacer cette pensée par j’ai d’autres compétences et je fais en sorte de m’améliorer en prenant conscience de mes aptitudes.

P : je me perds parfois dans mes explications.
Ce n’est pas un fait . Cette pensée n’est pas vraie. Il semble surtout que mes pensées tournent en boucle dans ma tete car je suis stressée. C4est bien une pensée qui provoque une émotion ; j’ai l’impression de me perde dans mes explications car c’est une interprétation. Une interprétation qui n’est pas utile et qui provoque du stress.
Je pourrais la remplacer par et si je me disais « ça va aller »

P : j’ai un regard dur envers moi même.
Cette pensée n’est pas utile et me renvoi une image négatif alors que je sais que j’ai et je suis capable de faire plein de belles choses.
C’est bien une interprétation qui n’est pas utile. Je pourrais la remplacer par « je fais du mieux que je peux et c’est très bien comme ça ! Bravo ! »

P : je ne vois que le négatif. ( en moi)
Cette pensée est la même que la précédente, elle n’est pas utile ; c’est bien mon interprétation, que j’utilise lorsque je suis en colère. Tout ce que je fais n’est aps négatif. Je pourrais la remplacer » J’ai des qualités et des défaits comme tout le monde »

P : je ne suis pas belle, ça ne me donne pas envie d’avoir une relation intime avec mon conjoint :
Cette pensée me dévalorise, et insinue que je ne suis pas digne d’aimer que m’aimer c’est mal.
Cette pensée n’est pas vrai , et mon cerveau pense qu’on ne doit pas m’aimer. C’est une interprétation de mon cerveau : c’est un choix de mon cerveau de penser ça car c’est lus facile pour lui de dire du négatif pluitot que du positif.
Je pourrais remplacer cette pensée par « tu es belle et attirante ; il en a de la chance »

P : si je me trouve belle il va avoir un danger : je vais etre obligé de quitter ce qui me rend heureuse mon conjoint.
Cette pensée est fausse. Et n’est pas utile, pas du tout utile. Mon cerveau trouve toujours des preuves comme quoi je ne peux pas être heureuse, que je suis moche…. Que je n’ai pas de chance. C’est le choix qu’il fait car il ne connait pas cette sensation de bien être et de bonheur, pour lui c’est l’inconnu : il en a peur. C’est une interprétation. Je pourrais la remplacer par « J’en ai de la chance : d’avoir la vie que j’ai avec le conjoint que j’aime »

C : Ma mère me reprochait d’avoir peur des autres
C’est une pensée que j’avais pendant mon enfance. Et dans ce cas llà c’est ma mère qui avait peur des autres ; il semble que ça soit mon cerveau qui ait interprétée. Mon cerveau a choisi de se dire ça pour trouver une excuse pour ne pas faire d’effort d’alelr vers les autres.
Je pourrais la remplacer par « J’aime etre au contact des autres »

C : si je dis vraiment ce que je pense ; ils ne vont pas être d’accord, et vont me rejeter.
C’est une pensée régulière que je pense. Les autres ne vont pas me juger ; certes ils auront des pensées négatives, certes ils peuvent avoir des pensées positives.
Mais ce n’est pas mon problème. Je peux remplacer cette interprétation par « Ils peuvent penser ce qu’il veulent » « le principal est que je suis clair avec moi-même « Il ne vont pas ne pas m’aimer pour ça « j’ai le droit à mon avis tu es une personne donc tu as un avis « « ce qu’ils pensent ne m’atteignent pas »

REPONSE

Maintenant que vous considérez vraiment ces phrases dans votre tête comme des PENSÉES et non plus comme la seule vérité possible à propos vous, voyez-vous à quelle point vos pensées négatives vous causent du mal et à quel point elles vous empêchent d’être la femme que vous voulez vraiment être ?

C’est uniquement parce que vous croyez ces pensées que vous n’êtes pas celle que vous voulez être. C’est uniquement parce que jusqu’ici vous avez cru que tout cela c’était LA VÉRITÉ à propos de vous que vous n’arriviez pas à devenir celle que vous rêvez de devenir.

Toute ces pensées sont vraies uniquement si vous les croyez. Toutes ces pensées deviennent fausses si vous commencez à les questionner. C’est magique.

Vous n’avez pas besoin de continuer à les croire. Vous avez le pouvoir de croire tout ce que vous voulez car vous êtes celle qui créez vos pensées.

Bien sur vous n’allez pas passer de “je ne me trouve pas belle” à “je me trouve superbe”, c’est un trop grand écart entre 2 pensées. Mais vous pouvez commencez par “il est possible que la phrase je ne suis pas belle soit fausse. Qu’est-ce que la beauté ? Il y a des gens que je trouve beau, leur beauté me touche alors qu’ils ne correspondent pas aux critères de beauté standard. Il est possible que je sois belle à ma façon. Quelle est ma beauté à moi ?”. Vous voyez l’idée ?

Il y a tout un tas d’autres pensées que vous pouvez avoir à propos de vous et qui vous seraient plus utiles. Quelles sont-elles ? Imaginez une hotte remplis de pensées à propos de vous. Vous avez la possibilité de puiser dans cette hotte autant de pensées que vous voulez, vous avez le droit de choisir exactement les pensées que vous voulez. Regardez vos anciennes pensées une par une et regardez la hotte : quelles sont les nouvelles pensée que vous allez puiser une par une ?