Pensées Enfance

Bonsoir Lilyrozenn,

Je vous remercie par avance de votre analyse.
Sachez que cet exercice a été long et assez compliqué au final. J’ai donc questionner les questions de la 1ere liste.

1. Je me sens coupable d’être moi
2. je me sens coupable d’avoir un avis différent,.
 Cette pensée n’est pas un fait. Il n’existe pas de loi qui précise que d’avoir un avis différent ils sont passible d’une amende, ou d’aller en prison.
 C’est donc une interprétation de la réalité. Et c’est une interprétation de ma part, c’est mon interprétation qui me fait croire que si j’ai un avis différent on va me rendre coupable.je peux avoir un avis différent sans choisir d’etre coupable. Tout e monde peut avoir des avis différent sans qu’il y ait un conflit.
 Non : cette interprétation me rend vulnérable.
 Oui, il en existe d’autre je pourrais remplacer par j’ai un avis différent des autres, ce n’est pas grave, chaque humain ont des pensées différentes et je suis un être humain. C’est mon avis et je me respecte et je respecte celui des autres.
 Oui ce sont les faits.

3. Je me sens coupable d’exister de vivre
 Cette pensée n’est pas vrai, il n’existe pas de texte de loi m’indiquand que je suis coupable d’exister de vivre. Ça n’existe pas . Cette pensée n’est pas vrai.
 C’est bien une interprétation de la réalité. C’est une pesnée que je me dis pour me rendre coupable. Cette pensée vient de moi , d’ailleurs elle arrive quand je crois que je n’ai plus le choix.
 Cette pensée ne m’est pas utile : elle provoque de la paralysie et provoque des émotions négatives
 Je pourrais la remplacer : je m’accepte comme je suis. Je suis à ma place comme tout être humain. Depuis ma naissance : j’ai le droit de vivre, et d’avoir des avis. C’est le résultat de tout être humain.
 Oui elle sont plus utiles et me permettent de la confiance en moi et de m’ouvrir aux autres

4. j’ai l’impression d’être nulle
 Cette pensée n’est pas vraie, j’ai démontré depuis mon enfance que je n’étais pas nulle. E n’ai âs eu des 0 à chaque action que je fais. Il n’existe pas de loi indiquant Mélanie est nulle.
 C’est mon interprétation de la réalité, que je fais quand je suis en colère mais elle n’est pas vrai. Il a été démontré que je sais faire plein de choses et que j’ai des compétences dans diverses matières et domaines. Je choisis cette pensée me rabaisser car c’est plus simple pour moi de me dire que c’est de ma faute.
 Non elle ne m’est pas utile sauf pour me rendre petite.
 Je pourrais la remplacer par je vis un moment difficile , ce n’est pas parce que je n’y suis pas arriver maintenant que je n’y arriverais pas. Je sais que je peux y arriver car j’ai démontré maintes et maintes fois mon courage, ma détermination à y arriver.
 Oui ces interprétations me sont plus utiles.

5. j’ai l’impression de ne pas avoir de réparti,
 Ce n’est pas vrai. Je dirais des fois j’ai de la réparti, et des fois non. J’ai démontré ma réparti depuis que je fais du théâtre et dans la vie de tous les jours j’ai su en avoir.
 C’est donc une interprétation de ma part, et provoque de la culpabilité. ET mon cerveau trouve des preuves de cette « non réparti »
 Elle m’est donc pas du tout utile cela provoque des blocages dans les pensées que je veux avoir. ( comme si mon cerveau se tromper de chemin)
 Je pourrais remplacer cette pensée par « si j’arrête de me dire que je n’ai pas de réparti. , peut être que ça viendra tout seul » « Quand je suis came et que j’analyse la situation, je suis capable d’avoir de la réparti » « Il n’y a pas de raison de ne pas avoir de réparti » « aies confiance en toi » « Même si tu n’as pas de reparti sur le moment , rien ne t’empêches de faire savoir ce que tu as à dire à un autre moment »
 Ces pensées me semblent plus utiles.

6. j’ai besoin des autres pour me protéger
 cette pensée n’est pas vrai . Je ne suis pas en danger. C’est comme si j’avais besoin d’une personne extérieure ( comme mes parents pour me protéger) C’était comme si je laissais les autres décider de mes propres besoins.
 C’est bien une interprétation de la réalité, lorsque je ressens que je n’ai pas de réparti. Je me cache derrière les autres pour ne pas montrer que je pense quelque chose de négatif, pour que je ne montre pas un de mes défauts et qu’on ne m’apprécie après. J’ai toute les capacités pour donner mon avis ou appuyer mon avis d’exemple.
 Elle n’est pas utile et c’est comme si je souhaitais me cacher derrière les autres.
 Je pourrais remplacer cette pensée par « je ne suis pas en danger » « Je suis capable de donner mon avis » « J’ai confiance en mes capacités »
 Cette interprétation est plus utile car je démontre mon avis.

7. Je suis mal
 Cette pensée reflète une émotion.
8. je préfère rien dire plutôt que de demander.

 Je dirais qu’elle est vrai

9. Je préfère rester renfermer vers moi même que de demander.
 Cette pensée signifie que je préfère ne rien dire car si je parle j’ai peur, qu’on me reproche, qu’on me juge sur l’objet de la demande. J’ai peur au final qu’on croit que je suis incompétente, qu’on se moque de moi.
 Au final est ce que c’est vrai qu’on va se moquer de moi ? qu’on va me juger ? Je pense que néanmoins cette peur n’est pas vrai. Car c’est une histoire que je me raconte dans ma tete que les autres vont se moquer de moi si je demande. C’est une interprétation de la réalité provenant du collège .
 Cette pensée n’est pas utile et permets les ruminations.
 On pourrait remplacer cette pensée par « tout individu demande de l’aide , pose des questions » « je ne peux pas tout savoir », « demander permet de m’enrichir de la connaissance des autres » « il vaut mieux oser demander plutôt que rester sur des termes faux » « je suis capable de demander et ce n’est pas parce que je demande que je suis faible, c’est juste que je suis désireuse d’apprendre »
 Oui c’est plus utile.

10. Je veux avoir raison dans mes relations
 cette pensée est fausse. Oui des fois j’aime avoir raison comme tout le monde mais vouloir avoir raison à tout prix je le ressens quand je pers pied, je perd mon calme et que dans ma tete je me répète « mon interlocuteur a le dessus tu vas perdre »
 Cette pensée est aussi fausse « mon interlocuteur va prendre le dessus ». Nous ne sommes pas dans un match de tennis. Chacun des parties apporte une information. C’est donc une interprétation de la réalité.
 Cette pensée n’est pas utile et me donne sentiment d’un combat (un peu comme à la maternelle)
 Je pourrais remplacer cette pensée par « nous avons deux avis différents » « ce n’est pas pace que je donne mon avis qu’il est le meilleur et que je souhaite rabaisser l’autre ».
 Cette pensée est plus utile.

11. j’ai peur de ne pas être compétente ( quand on me contredit)
 Cette pensée n’est pas vrai ; ce n’est pas un fait ( car elle est pas neutre) Il y a une émotion négative.
 C’est mon interprétation, je prédis que je vais être incompétente si on me contredis, que je ne sais pas faire alors que plein d’expériences me montre le contraire.
 Cette interprétation n’est pas utile cela me mets la pression.
 Je pourrais remplacer par ce n’est pas parceque tu ne réponds rien ou que tu n’as pas de réparti que tu es incompétente cela signifie juste que tu as besoin de temps pour répondre.
 Cette pensée me parait plus utile

12. eux ont raison et moi j’ai tord c’est comme ça.
 Cette pensée n’est pas vrai , ce n’est pas un fait et ça n’a pas été prouvé. J’ai fait le choix de penser qu’eu ont raison et moi tord mais cen ‘est pas vrai.
 C’est mon interprétation. Qu’est ce qui me prouve que eux ont raison ? et moi tords ? personne n’a dit qu’ils avaient raison. Je choisis de me dire ça au lieu de me mettre à la même hauteur qu’eux.
 Cette interprétation n’est pas utile
 Je pourrais remplacer cette pensée par « nous avons des avis différents, mes parents et moi » et « c’est très bien comme ça » « je suis adulte et j’ai un avis différent que ceux de mes parents »
 Cette pensée me parait plus utile

13. Ils s’inquiétaient de mon frère et pas de moi
 Je ne peux en être complètement sur et personne ne peut le vérifier. Donc ce n’est pas un vrai : donc cette pensée est fausse.
 C’est une interprétation de ma part car j’aurais souhaité entendre qu’ils étaient fier de moi. Je voulais qu’ils comblent un besoin : alors que je peux le faire.
 Cette interprétation n’est pas utile et amplifie mes croyances d’enfance ( jalousie)
 Je pourrais remplacer par « ils sont inquiets pour mon frère et doivent être soulagés pour moi » . « En tous les cas je suis très fière de moi »

14. Je suis très émotive
 Je pense que cette pensée n’est pas complètement vrai. Certes on pourrait penser que je le suis : car j’exprime mes sentiments facilements, et que j’aime que ce soit transparent (pas de problème avec les autres). Quand je suis contente les gens le savent et quand je suis en colère c’est pareil. Néanmoins avec tout el travail de coaching je me rends compte que les émotions sont provoquées par les pensées. Donc je ne pense pas que ce soit vari mais plutôt que je suis traversée par des émotions comme tout le monde et que je commence à apprendre à les gérer, et donc à choisir mes pensées.
 La pensée je suis très emotive n’ets pas utile et me stigmatise, et ce n’est pas neutre c’est plutôt négatif.
 Je pourrais remplacer par je suis traversée par des émotions négatives et des émotions positives. C’est la vie. J’apprends à le gérer en ce moment.
 Je trouve cette interprétation beaucoup plus réaliste que « je suis très émotive »

15. ça me joue des tours :
 Cette pensée n’est pas vrai. Être émotive ça me joue des tours pourquoi ? par ce que je me montre humaine ? C’est surtout que mon cerveau a choisi cette pensée avec des preuves. « Tiens regarde pourquoi tu t’énerves, ça te joue des tours à chaque fois » Je me dis cette phrase pour ne pas accepter que j’ai une émotion.
 C’est bien une interprétation de la réalité mais elle ne m’est pas utile.
 Je pourrais remplacer cette pensée par « oui c’est vrai je suis traversée par des émotions négatives mais elle est provoquée par une pensée ; j’ai le contrôle de la situation en faisant de smodèles par défauts »
 Oui cette pensée est plus utile et me permet de poser les choses au lieu de me faire paniquer

16. J’ai l’impression que c’est le prix à payer lorsqu’on est émotif.
 Cette pensée est fausse. Et correspond à une interprétation de la réalité. Je ne suis pas condamner à payer le prix parce que je ressens des émotions. Tout individu a des émotions négatives te positives.
 Cette pensée provoque de la culpabilité et je choisis de me rendre coupable pour me condamner. Car c’est plus simple de me faire du mal plutôt que d’accepter etlel que je suis.
 Cette interprétation n’est pas utile et me rends très mal.
 Je pourrais remplacer cette pensée par « je ressens des émotions négaives qui me perturbent » « Ca va aller, ça va passer »
 Cette pensée est plus utile.

17. Je suis une passionnée
 Lorsque j’ai écrit cette pensée, je me rappelle très bien que cette pensée n’était pas positive. J’entendais par là « je suis une passionnée, surtout dans les mauvais coté ». C’est une excuse. Pour me dire que mes émotion débordent. Je ne sais pas trop si cette pensée est vrai
 Oui c’est une interprétation de ma part
 Je suis capable de changer ma pensée en je suis une passionée et quand mes émotions débordent je suis capable de les gérer.
 Je ressens un changement, comme si ça me dérangeait, car je ne sais pas encore le faire, mais ça va venir.

18. je peux paraitre autoritaire
 Non elle n’est pas vrai, elle a été apporté suite à de sinterprétation de collègues et de mon responsable. Il ets vrai que dans le ton je suis assez agressive. C’est surtout que lorsque je vois qu’on en fait pas ce que je demande que je trouve que je suis autoriataire. AU final un peu comme mon père
 C’est bien une interprétation de la réalité , et elle m’est pas utile car je me juge.
 Je pourrais remplacer cette pensée par « je suis capable de gérer cette situation en expliquant calmement au collègue mon besoin » « Je suis adulte et je connais ma valeur »
 Cette pensée me correspond mieux

19. Je suis susceptible.
 Je ne pense pas que cette pensée soit vrai. Être susceptible c’est prendre tous les choses mal. J’ai choisi d’etre susceptible pour qu’on s’occupe de moi, je pense que je suis dans le comportement e la victime. Je ne prends pas ma responsabilité.
 C’est donc une interprétation de la réalité, et elle ne m’est pas utile
 Je pourrais remplacer cette pensée par « je peux sentir l’émotion négative arrivait et me fait perdre pied » « c’est juste une phase difficile » « Ca va passer, ne prends pas de décision maintenant » » Va marcher ça ira mieux après »
 Elle me parait plus utile.

20. Je me vexe
 C’est une pensée qui n’est pas vrai et qui ressemble fortement à la précédente. Je réagis à une émotion trop forte. Je choisi de ne pas prendre mes responsabilité, je choisis de me vexer car c’est le chemin le plus facile.
 C’est donc une interprétation de la réalité. Elle n’est pas utile.
 Je suis capable de changer cette pensée en « Ce qui est dit n’est pas pour moi, je suis consciente de ma valeur »

21. je ne vois que le négatif.
 Est-ce vrai ? Pas du tout c’est ce que mon cerveau a choisi de voir. En effet c’est plus simple de penser ça. Quand mon cerveau est occuper il ne voit que le positif. Cette pensée n’est pas vrai
 C’est donc une interprétation de la réalité, c’est mon interprétation à un moment ou l’émotion négative m’a traversé.
 Je pourrais la remplacer par « dans ma vie il y a du positif et du négatif » « C’est tout à fait normal »
 Ca me parait bien plus utile.

22. Je me renferme vers moi-même
 Cette pensée est vrai ou pas. En effet lorsque je ressens de la colère, que je ne suis pas fière de moi j’ai l’impression de n’etre ouvert aux autres mais en même temps c’est par ce que je rumine que je me renferme vers moi-même.
 C’est une action que je fais suite à une motion négative et suite à une pensée. Elle signifie : je ne veux voir personne.
 Je pourrais la remplacer par « je vais m’occuper de moi afin d’etre ouvert aux autres »
 C’est beaucoup plus approprié

23. je ne veux pas que ça leur arrive.
 Oui c’est vrai. Je ne veux pas qu’un malheur leur arrive. Je veux le meilleir pour mes enfants. Je ne souhaite pas ma vie car ma vie n’est pas belle.
 Je dirais que ces dernières pensées ne sont pas vrai. C’est grâce à toute ses épreuves que j’ai la vie que j’aime.
 C’est grâce à ça que je suis avec le conjoint d’aujourd’hui. C’est donc une véritable interprétation de la réalité ou mon cerveau a choisi de ne voir que le négatif au eu de voir ma vie globale positif et négatif.
 Je pourrais remplacer par je souhaite accompagner mes enfants dans les épreuves qu’ils vont traverser car je les aime et que c’est mon rôle de maman.

24. je ne suis pas assez fière de moi peut etre !!!
 Je dirais que c’est vrai , que je ne suis pas assez fière de moi .
 Elle me parait vrai car je me dis que si j’avais assez de fierté, assez de confiance en moi je saurais m’affirmer face à ma mère et à mes parents.
 Cette dernière phrase n’ets pas tout à fait vrai, je me rends encore coupable… si j’avais ça… je pourrais faire ça…. Mais mon cerveau a choisi de ne pas foir toutes les célébrations effectuées, je n’ai pas besoin de montrer ou démontrer que mes parents soit fier de moi. Je dois regarder en moi pour voir que c’est déjà le cas.
 Je pourrais remplacer par « je suis au fond fière de tout de ce que j fais, en commençant par le coaching que j’ai décidé de suivre » « Tu penses ne pas être fière mais c’est faux et tu le sais au fond de toi-même Mélanie »

25. Mes parents ne sont peut-être pas fier de moi
 Est ce que c’est vrai ? Et non… je pense que mes parents malgré le mode de communication utilisé sont fier de moi c’est jusqte qu’il ne souhaite pas le montrer.
 C’est une interprétation de la réalité, c’est plus facile d’accuser les autres plutôt que de se dire que j’ai choisi de me dir qu’ils n’étaient pas fier de moi.
 Elle ne m’est pas utile.
 Je pourrais remplacer par « mes parents ne souhaitent pas le montrer car c’est trop difficile pour eux » « je pense qu’ils le sont »

26. J’ai peur que ma mère me juge.
 Il ets vrai que j’ai peur. Est-ce qu’elle me juge ? j’ai peur de la réponse. Je crois qu’elle a oui son prpre jugement. Mais les mots sont surement un peu fort.
 C’est en partie une interprétation de la réalité. Elle me juge peut être dans sa tete mais c’est son problème et c’est ce que j’imagine. Elle n’aime pas que j’ai un avs différent et suit l’avis de mon père à la lettre. J’ai peur de ma différence, en fait j’ai surtout peur qu’elle ne m’aime pas si j’ai un avis différent et là je sens d’jà une boule au ventre.
 Ce n’est donc pas vrai, mes parents m’aiment comme au 1er jour et ce n’est pas parce qu’elle Ets réticente ou qu’elle me contredit qu’elle ne m’aime pas. « ona le droit d’avoir un avis différent »
 Ce n’est pas utile de penser ça.
 Je pourrais remplacer « aie confiance en toi » « tu es capable de donner ton avis « « ce n’est pas ton avis qui la rendra en colère mais ses propres pensées » « rappelles toi une pensée =emotion »

REPONSE

Ce n’est pas parce que vous avez toutes ces pensées qu’elles sont vraies. Pouvez-vous voir cela maintenant ?

Ce n’est pas parce que votre cerveau vous présente ces pensées que ça les rend vraies. Ce n’est pas parce qu’il vous les a répété pendant des années que ça les rend plus vraies. Ce n’est pas parce que je vous dis que les poules ont des dents que c’est vrai. Ce n’est pas parce que je vous répète pendant 20 ans que les poules ont des dents que ça rend cela plus vrai.

Vos pensées ne sont ni vraies, ni fausses. Car vos pensées ne sont pas la réalité.

La réalité c’est “je m’appelle …. j’ai …. ans, j’ai les yeux …., j’ai les cheveux …., j’habite ….., je travaille ….. j’ai …. enfants, mon mari s’appelle …”. Tout ça c’est la réalité car ce sont des faits. Les faits sont LA réalité. Les pensées ne sont pas la réalité. Les pensées sont une interprétation de la réalité. Les pensées ne peuvent donc pas être vraies, ni fausses.

Les pensées sont soient utiles, soient inutiles. Vous avez le choix de continuer à écouter ces pensées et à les croire comme vraies OU vous avez le choix de ne plus les écouter et de ne plus croire qu’elles sont vraies.

Vous voyez cela ?

Votre cerveau va continuer à vous les répéter pendant encore un moment, car il a pris cette habitude. Votre job va être de lui dire “non, mauvaise route, on a arrêter de croire cela rappelle-toi”.

Passez à la liste 2 et questionnez ces pensées.