Peut mieux faire 4

1/ Je complète le modèle par défaut proposé :

C : je mets du temps à trouver le pourquoi du comment

P: mais qu’est-ce que fabrique mon cerveau aujourd’hui ?

E: inconfort

A : je trouve que c’est pénible mais je cherche quand-même, je ne lâche pas l’affaire

R : je réussis malgré tout à trouver le pourquoi du comment

Dans les actions proposées je n’ai pas retenu /je décide de faire le minimum / je me rassure en me disant que j’obtiens des résultats en faisant à ma sauce/ je me questionne sur la nécessité de faire cet effort ” à quoi bon me fatiguer” car ces actions là ne concernent pas cette circonstance

A présent je prends conscience que finalement c’est tout à fait logique de ressentir de l’inconfort lorsque je me lance dans ce travail de coaching , déjà parce que je débute et que cela me demande des efforts pour aller chercher dans mon cerveau son mode de fonctionnement.
Je suis en pilote automatique depuis tellement d’année que de devoir tout analyser est épuisant.
Je vais accepter tout simplement cet inconfort au lieu de vouloir sans cesse l’éviter , cela m’aidera certainement à me plonger plus sérieusement dans mon travail
Ma pensée intentionnelle pourrait donc être “‘c’est difficile de se coacher , ça demande des efforts et c’est normal de ressentir de l’inconfort”
Elle me fait ressentir du courage 😉

2/
En ce qui concerne votre question je pense y avoir répondu lors de notre rendez-vous

Merci pour votre retour

RÉPONSE

Bon travail !

Effectivement l’inconfort n’est pas nécessairement une émotion “inutile”. L’inconfort indique que vous sortez de votre zone de confort pour faire/créer/essayer quelque chose que vous n’avez jamais fait.

La pensée “mais qu’est-ce que fabrique mon cerveau aujourd’hui” n’est pas utile car elle remet en question votre cerveau, elle le dévalorise.

La pensée “c’est normal que se coacher demande des efforts et de ressentir de l’inconfort” vous permet de vous rassurer et de vous encourager.